Bonjour tout le monde !
Vous allez bien ? De mon côté c'est les vacances, alors ça ne peut que bien aller, même si ma lecture du moment avance très lentement... En tout cas, aujourd'hui je vous retrouve avec un nouvel article : la chronique de Bacha Posh, livre que j'ai lu pour le Prix des Incorruptibles 2014-2015.
J'ai trouvé le début plutôt long, presque même sans intérêts. Je n'étais pas du tout enjouée : aucune excitation, aucune émotion; un livre platonique à mon goût.
Et puis, vient la deuxième partie. Je crois qu'elle était la bienvenue, que le rebondissement de situation est arrivé au bon moment car j'étais à la limite de l'ennui. Mais cette seconde partie s'est finalement révélée superbe ! J'ai aimé voir le changement de comportement entre Farrukh et Farrukhzad. On sent la différence entre la fille et le "garçon", pourtant quelque chose montre bien le lien entre les deux personnalités.
Un livre rempli d'émotions (surtout dans le deuxième partie, à mon goût). Mon avis a totalement changé lorsqu'il y a eu ce retournement de situation. Un aspect beaucoup plus fort, plus oppressant et énervant face à cette privation et à ces contraintes.
J'aime la détermination et et la combativité du personnage principal. La relation entre lui et son père m'a séduite. L'envie de liberté devient de plus en plus grandissante et obsessionnelle !
J'ai bien aimé la fin, qui souligne bien cet aspect de fatalité et ce rêve finalement à moitié accompli. Une déception qui s'est finalement transformé en une bonne lecture,
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| Lecture pour le Prix des Incorruptibles 2014-2015 |
Résumé :
Elle vit comme un garçon, s’habille comme un garçon et passe, aux yeux de tous, pour un garçon. C’est une bacha posh : une de ces filles élevées comme des fils dans les familles afghanes qui n’en ont pas. À la puberté, elle doit redevenir une jeune femme. Mais quand on a goûté à l’action et à la liberté, comment y renoncer ?
Margaux M.
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